1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jules Supervielle, Gravitations (décembre 1925)
1 cités étranges pour assembler un sourire ». Comme Max Jacob il lui arrive de situer une anecdote purement poétique dans un monde
2 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
2 nge, mais un bon artiste n’est pas menteur », dit Max Jacob . « Être sincère, c’est avoir toutes les pensées » (Rivière). Mais on
3 de force pour donner de la réalité à l’illusion. ( Max Jacob .) Un rôle ? Oui. Mais si le personnage est maintenu jusqu’à la mort,
3 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Orphée sans charme (février 1927)
4 as dépourvue de certaines des qualités qui, selon Max Jacob , permettraient seules de taxer de chrétienne une œuvre d’art. Mais, d
4 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Entr’acte de René Clair, ou L’éloge du Miracle (mars 1927)
5 urprendre est peu de chose, il faut transplanter. Max Jacob . Ce soir-là, le programme comprenait : un film d’avant-guerre ; un f
5 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). D’un humour romand (24 février 1934)
6 de verve, Cingria est un phénomène dont Claudel, Max Jacob et Ramuz ont su voir et dire l’importance, et dont je me contenterai
6 1937, Articles divers (1936-1938). Vers une littérature personnaliste (20 mars 1937)
7 re que les bizarreries les plus aiguës : Cocteau, Max Jacob , les premiers surréalistes composeront très probablement une antholog